Corruption et crime organisé.

Une enquête menée conjointement par le Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) et la Sûreté du Québec (SQ) a mis en lumière deux cas présumés de corruption impliquant des fonctionnaires québécois. Ces révélations ont émergé dans le cadre d'une vaste enquête visant à capturer un tueur à gages en cavale et à arrêter ses complices. Une gardienne de prison a plaidé coupable à des accusations d'abus de confiance, tandis qu'une mandataire de la Société de l'assurance automobile du Québec (SAAQ) a démissionné après avoir effectué des recherches sur la plaque d'immatriculation d'un agent double. 

Durant l'enquête, il a été révélé qu'un agent double du SPVM avait remis un téléphone-espion à la conjointe d’un tueur à gages. Peu de temps après, une employée de la SAAQ a effectué des recherches sur la plaque d'immatriculation du véhicule de l'agent double, sans explication apparente, avant de démissionner. Parallèlement, d'autres actes répréhensibles ont été exposés, notamment l'implication d'une agente correctionnelle dans la contrebande de substances illicites en prison. Ces révélations soulèvent des préoccupations quant à l'intégrité des institutions et mettent en lumière les efforts des autorités pour lutter contre la corruption et le crime organisé.

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