Avocats en droit criminel
Selon les experts en génétique et en criminologie, le potentiel de la technologie d’extraction d’ADN pourrait faire avancer les enquêtes criminelles non résolues.
En effet, la Police provinciale d’Ontario a arrêté en novembre un suspect de 61 ans à propos de deux meurtres avec violence sexuelle qui ont eu lieu en 1983. La police a déclaré que les découvertes ont pu se faire grâce à la généalogie génétique qui a retracé l'arbre généalogique de l'accusé.
Pour cela, l'ADN trouvé sur les scènes de crime est croisé avec les données d’ADN soumises volontairement à des services en ligne. La technologie est puissante et utile, cependant il est crucial que la base de données utilisée, soit compilée avec le consentement du public.
Ainsi, la police de Toronto prévoit de soumettre chaque année plus de 15 affaires à la technologie de l'ADN.
Les limites de cette technologie
L’utilisation de restes humains est délicate, car une grande partie de l’ADN nécessaire a été dégradée, et donc n’est pas utilisable pour le typage ADN médico-légal.
Pour toute aide, consultez les avocats de Gauthier et Tousignant
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